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Comprenne qui pourra 2 : le retour
Le scénario de l'accusation étant inchangé, je renverrai à la réponse précédente. Puisque c'est la dernière pièce du dossier, cela pourrait ressembler à une fin en queue de poisson. Pour l'éviter, il est d'usage dans ces cas-là de terminer par une petite histoire. Allons-y.
Il se trouve que le cas de figure qui nous occupe a un précédent. En 1978, j'ai été appelé à entrer au Conseil d'administration de l'Association Nationale des Docteurs en Droit. Comme dans l'affaire présente, nous étions deux, mon complice étant alors le Doyen Georges Vedel.
Au bout de quelques semaines, lui et moi avons été contactés par le secrétariat de l'association, qui nous a fait remarquer que… nous n'étions ni l'un ni l'autre membres de l'ANDD - ce qui, dans ce cénacle doctoresque, pouvait "faire désordre". Il nous a donc été demandé gentiment et poliment de bien vouloir régulariser la situation, ce que nous avons fait l'un et l'autre sans essayer de résister, comme on semble tenter de m'en accuser ici (sans le faire tout en le faisant) dans cette triste farce qui est révélatrice d'un état mental préoccupant. Est-ce l'état de notre association ou simplement celui d'individu(s) isolé(s) ? Il reviendra à nos instances de se prononcer. En étant conscientes de la portée de leurs analyses et de leurs choix sur l'avenir d'un CCE que je veux croire capable de se ressaisir, à condition de se remettre en question sans tarder.
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