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Exploitation délictueuse d'une violation de correspondance privée
"Une peinture est la meilleure image cachée de celui qui la peint", disait Pablo Picasso
A l'inverse de FV qui juge (et condamne) constamment, sans donner de faits, je me bornerai à rappeler des faits et quelques questions de bon sens qu'ils appellent. Chacun pourra apporter ses réponses et tirer ses conclusions. Voir par ailleurs mon analyse de ces aveux spontanés (Pièce 4).
Passons sur les délits (violation, détournement et falsification de correspondance privée).
Ce texte caviardé est supposé nuire au Centre du fait de sa diffusion - on ne nous dit d'ailleurs pas en quoi il nuit, mais ce doit être très grave vu l'intensité de l'émotion affichée.
La question centrale, puisqu'il paraît qu'on cherche des coupables, est donc : qui a diffusé ?
Vient ensuite la question du sens : pourquoi a-t-elle diffusé ce texte "nuisible" ?
Ceux qui veulent protéger le CCE ont tout fait pour arrêter cela : qui a essayé ? Qui, au contraire, s'est acharné ? Avec quelles nobles intentions ?
Ce texte est précédé d'un commentaire visant à mieux induire une lecture orientée. Sa conclusion : "Il s'agit donc d'une diffamation gratuite". Auto-qualification, incontestablement ; mais concernant le texte commenté, il faudrait un minimum de démonstration pour parvenir à une telle conclusion, sauf à sous-estimer exagérément le sens critique des lecteurs.
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